


- Printemps inachevés
... Ma Kahina, Ô ma petite Kahina !
... Ma Aïda, Ô ma petite Aïda !
... Ô ma Kahina-Aïda !
Secrètement, je te pleure encore et je me languis toujours de toi.
Toi seule peux panser ma plaie !
- En quête de racines
... Combien de fois ne t'avais-je pas surprise en train d'écouter les chansons d' Idir : une cassette que ta grand-mère paternelle nous avait offerte. Il faut dire qu'à cette époque-là, certaines de ses chansons étaient interdites d'écoute. Et puis, en cachette, tu pleurais non pas que la mélodie fût triste [ elle l'était, bien sûr ! ] mais plutôt parce que tu ne comprenais pas les paroles.
- La chanson culte
... Voici ta chanson, écoute-la !
... Je suis pudique de nature, je n'arrive pas à extérioriser mes sentiments. Aujourd'hui, tardivement peut-être, j'ai envie de te serrer dans mes bras et te dire " Je t'aime ".
... À Dieu, ma petite Aïda !