- Une récitation
... À BOUGIE
... C'était à l'école Émile Salles, en classe de CM1, avec Mme Heintz, la plus gentille et ravissante des maîtresses.
Lucie Delarue-Mardrus
(Le Normandie)
Joie du printempsAu printemps, on est un peu fou,
Toutes les fenêtres sont claires,
Les prés sont pleins de primevères,
On voit des nouveautés partout.
Oh ! regarde, une branche verte !
Ses feuilles sortent de l'étui !
Une tulipe s'est ouverte...
Ce soir, il ne fera pas nuit,
Les oiseaux chantent à tue-tête,
Et tous les enfants sont contents
On dirait que c'est une fête...
Ah ! que c'est joli le printemps !
Lucie Delarue-Mardrus
(Le Normandie)
... Auteur prolifique, Lucie Delarue-Mardrus est une femme exceptionnelle, une poétesse, probablement l'une des plus grandes du XXème siècle. Mais aussi romancière, journaliste, dessinatrice, peintre, sculpteur et... historienne !
- Printemps d'Orient
... Lucie Delarue-Mardrus, la grande voyageuse, de Honfleur à Aïn-Sefra, sur les traces d'Isabelle Eberhardt, des harems de l'Orient au rythme endiablé du Paris des années folles.
... Printemps 1904, son premier voyage l'emmène en Tunisie et en Algérie ; dans le massif de l'Edough, près de Constantine, elle est plus à cheval ou en dos de chameau qu'en diligence.
... 1906, Lucie revient en Algérie, visite Kenadsa, Béchar et Aïn-Sefra. Au retour, elle passe par Tlemcen, Mers-El-Kébir et Oran. Elle fait une halte à Bougie avant de rejoindre Paris et sa Normandie natale.
... 1910, Son troisième voyage, Lucie sillonne, deux années durant, l'Égypte et la Syrie.
... Printemps 1904, son premier voyage l'emmène en Tunisie et en Algérie ; dans le massif de l'Edough, près de Constantine, elle est plus à cheval ou en dos de chameau qu'en diligence.
... 1906, Lucie revient en Algérie, visite Kenadsa, Béchar et Aïn-Sefra. Au retour, elle passe par Tlemcen, Mers-El-Kébir et Oran. Elle fait une halte à Bougie avant de rejoindre Paris et sa Normandie natale.
... 1910, Son troisième voyage, Lucie sillonne, deux années durant, l'Égypte et la Syrie.
.../...Roulant le souvenir complexe de moi-même
Et d’avoir promené de tout, sauf du mesquin,
Je respire aujourd’hui ce printemps africain
Qui germe à tous les coins où le vent libre sème..../...
5 commentaires:
icaMerci pour cette article qui nous fait connaitre des gens interressants
Je ne connaissais pas cet(te) auteur. Tu m'étonneras toujours Chawki. Que de beaux souvenirs. Moi je n'aimais pas ça les récitations et puis c'est avec l'âge que j'ai appris à aimer la poésie!
Bonne soirée à toi et à bientôt Yvette
Bonsoir Souska,
Bonsoir Yvette,
Souska, c'est avec l'âge qu'on apprécie les choses du passé.
Enfants, nous considérions toutes les choses comme une corvée. Pourtant, c'est grâce à l'instruction que nous sommes devenus ce que nous sommes.
Yvette, moi aussi je n'aimais pas les récitations et tous mes maîtres et maîtresses le savaient. J'avais horreur du «parcoeurisme», mais j'étais fort en déclamation.
Aujourd'hui, je crois savoir pourquoi je passais rarement au tableau !
Enfant, j adorais entre autres, les recitations,que de bons souvenirs..
merci
Bonjour Mounia,
J'aimais écouter ou déclamer les poèmes mais pas les réciter.
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