Z É P H Y R
Ζέφυρος / Zéphyros, le Dieu du Vent d'Ouest
Ζέφυρος / Zéphyros
... Zéphyr
Dans la Grèce antique
Fils d'Astréos (Éole), le Maître des Quatre Vents
Et d'Éos, la déesse de l'Aurore.
... Ses frères
Borée, le dieu du Vent du Nord,
Notos, le dieu du Vent du Sud,
Euros, le dieu du Vent du Sud-Ouest.
... Ses amours féminines
Podargé, aux pieds agiles, la Harpie au corps de pouliche
Chloris, Flore, la déesse des fleurs
Iris, la déesse de l'Arc-en-ciel.
... Zéphyr et Chloris
Pluie de roses,
Haleine parfumée de Zéphyr,
Amour et Printemps.
... Les métaphores d'Apulée le berbère
Extrait du roman latin Métamorphoses (L’Âne d'Or)
« ... Or pendant que Psyché en proie à la peur et pleure au
sommet de son rocher, la douce brise de Zéphyr aux molles
caresses fait frissonner les bords de sa robe, enfle son vêtement,
la soulève sans heurts et la transporte le long de l'abrupte paroi
rocheuse ; après une douce descente, Zéphyr la dépose au
cœur du vallon, sur un gazon de fleur ... »
... Brise du matin, flots des vagues, flocons des nues,
... Emportez-moi !
... Zéphyr
Il était, dans sa jeunesse, fougueux et violent ; les gens le
redoutaient.
Aujourd'hui, il a changé d'attributs ; c'est un vent doux et
agréable, un souffle léger, une brise qui grise les sens.
... Zéphyr
Il protège et enveloppe, il donne de la fraîcheur et procure du
bien-être.
Au gré du temps et de l'humeur, il apportera échos et souvenirs.
... Zéphyr
Il est la renaissance, l'éclosion de la vie, la joie.
Il annonce le retour du Printemps.
... Zéphyr
... Au gré de sa nature, il vous transportera ...
............ Entre Miliana, sa ville d'adoption
............ Et Béjaïa, sa ville natale.
............ Entre la ville aux mille ruisseaux
............ Et la ville lumière.
Zéphyr à Béjaia
Apophtegme d'une Bougiote
... À la face des dieux, montrer que les humains................................................................... Marie alias Incipit
Sont beaux et généreux s'ils s'autorisent enfin
À tomber le loup en recouvrant le sourire
...................................................enr sauv SGDL 2011-02-0167
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Nouvelles du jardin
Un jour, une plante
jeudi 11 avril 2019
vendredi 17 août 2018
La Kahina, ⴷⵉⵃⵢⴰ
- Dihya, Damya : Mythe ou Réalité
(Khenchela)
... L'écrivaine, l'avocate et grande militante Gisèle Halimi répond :
« ... C'est incontestablement une réalité politique et historique... »
« ... Ses qualités exceptionnelles, ses dons, son statut de femme ont rendu La Kahina une héroïne presque irréelle.
... On a voulu en faire un mythe pour mieux enterrer cette reine berbère zénète des Aurès, car ainsi il serait plus difficile de la faire rentrer dans l'histoire de l'humanité... »
mardi 2 octobre 2012
L'automne
- Méditations poétiques
Alphonse Lamartine
Salut ! bois couronnés d’un reste de verdure !
Feuillages jaunissants sur les gazons épars !
Salut, derniers beaux jours ! Le deuil de la nature
Convient à la douleur et plaît à mes regards !
Je suis d’un pas rêveur le sentier solitaire,
J’aime à revoir encor, pour la dernière fois,
Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière
Perce à peine à mes pieds l’obscurité des bois !
Oui, dans ces jours d’automne où la nature expire,
À ses regards voilés, je trouve plus d’attraits,
C’est l’adieu d’un ami, c’est le dernier sourire
Des lèvres que la mort va fermer pour jamais !
Ainsi, prêt à quitter l’horizon de la vie,
Pleurant de mes longs jours l’espoir évanoui,
Je me retourne encore, et d’un regard d’envie
Je contemple ses biens dont je n’ai pas joui !
Terre, soleil, vallons, belle et douce nature,
Je vous dois une larme aux bords de mon tombeau ;
L’air est si parfumé ! la lumière est si pure !
Aux regards d’un mourant le soleil est si beau !
Je voudrais maintenant vider jusqu’à la lie
Ce calice mêlé de nectar et de fiel !
Au fond de cette coupe où je buvais la vie,
Peut-être restait-il une goutte de miel ?
Peut-être l’avenir me gardait-il encore
Un retour de bonheur dont l’espoir est perdu ?
Peut-être dans la foule, une âme que j’ignore
Aurait compris mon âme, et m’aurait répondu ? …
La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphire ;
À la vie, au soleil, ce sont là ses adieux ;
Moi, je meurs ; et mon âme, au moment qu’elle expire,
S’exhale comme un son triste et mélodieux.
Feuillages jaunissants sur les gazons épars !
Salut, derniers beaux jours ! Le deuil de la nature
Convient à la douleur et plaît à mes regards !
Je suis d’un pas rêveur le sentier solitaire,
J’aime à revoir encor, pour la dernière fois,
Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière
Perce à peine à mes pieds l’obscurité des bois !
Oui, dans ces jours d’automne où la nature expire,
À ses regards voilés, je trouve plus d’attraits,
C’est l’adieu d’un ami, c’est le dernier sourire
Des lèvres que la mort va fermer pour jamais !
Ainsi, prêt à quitter l’horizon de la vie,
Pleurant de mes longs jours l’espoir évanoui,
Je me retourne encore, et d’un regard d’envie
Je contemple ses biens dont je n’ai pas joui !
Jardin public de Miliana,
Entre les deux palmiers : le banc de méditation de Zéphyr |
Je vous dois une larme aux bords de mon tombeau ;
L’air est si parfumé ! la lumière est si pure !
Aux regards d’un mourant le soleil est si beau !
Je voudrais maintenant vider jusqu’à la lie
Ce calice mêlé de nectar et de fiel !
Au fond de cette coupe où je buvais la vie,
Peut-être restait-il une goutte de miel ?
Peut-être l’avenir me gardait-il encore
Un retour de bonheur dont l’espoir est perdu ?
Peut-être dans la foule, une âme que j’ignore
Aurait compris mon âme, et m’aurait répondu ? …
La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphire ;
À la vie, au soleil, ce sont là ses adieux ;
Moi, je meurs ; et mon âme, au moment qu’elle expire,
S’exhale comme un son triste et mélodieux.
samedi 1 septembre 2012
L'orphelin
- Inzen n Ctember
Le proverbe de Septembre
Win mi yekkes vava-s atan deg irebbi n yemm-as,
Win mi yekkes yemm-as, atan deg ugudu nḍent-as !
Celui qui n'a plus de père, se retrouve entre les bras de sa mère,
Mais celui qui n'a plus de mère, il est entre les bras de la misère !
- Paroles de Victor Hugo
... La misère d'un enfant intéresse une mère,
La misère d'un jeune homme intéresse une jeune fille,
La misère d'un vieillard n'intéresse personne.
- Sagesse malienne
« On n’est pas orphelin d'avoir perdu père et mère, mais d'avoir perdu l'espoir. »
mercredi 8 août 2012
« Alger la bien gardée »
- « El Mahroussa » الجزائر المحروسة
... Du temps de la Régence d'Alger et des Raïs.